Truc pour la cuisson des viandes sur BBQ

mars 2016

Trucs et astuces BBQ présentés par Weber

Voici un truc fort simple qui vous permettra de connaitre le stade de cuisson de vos viandes. L’astuce tient dans un principe de comparaison. Pour se faire vous avez besoin de vos deux mains.

Étape #1 : À l’aide de l’index de votre main droite par exemple, venez exercer une pression sur votre pièce de viande. La résistance de celle-ci vous indiquera son stade de cuisson.

Étape #2 : À l’aide du même doigt, exercez une pression sur la base du pouce de votre main gauche. La résistance de celle-ci vous servira de point de comparaison pour déterminer le stade de cuisson de votre pièce de viande. En joignant votre pouce à chaque doigt de la même main, sans exercer de pression sur celui-ci (voir les photos), vous remarquerez que votre muscle devient de plus en plus dur. Plus la résistance de votre muscle est grande, plus le stade de cuisson de votre viande est élevé (plus cuite).

Voici les correspondances des différents stades de cuissons :
Tension du muscle en bas du pouce de la main ouverte = cuisson d’une viande bleue

Tension du muscle en bas du pouce >lorsque vous touchez votre pouce + index = cuisson de la viande saignante

Tension du muscle en bas du pouce>lorsque vous touchez votre pouce + majeur = viande à point (médium)

Tension du muscle en bas du pouce>lorsque vous touchez votre pouce + annulaire : viande bien cuite

Tension du muscle en bas du pouce>lorsque vous touchez votre pouce + petit doigt = votre viande est bien trop cuite, il faudrait aller suivre un cours BBQ…

Bien préparer son barbecue

février 2016

A l’approche de l’été, c’est le moment pour penser à organiser un barbecue entre amis. Suivez nos conseils pour réussir vos grillades!

Si votre barbecue a passé l’hiver dans un coin du garage ou au fond de l’abri de jardin, pensez à passer un petit coup de brosse et vérifier son bon état. Nettoyez aussi vos outils et ustensiles. Et profitez-en pour faire le point sur ce qu’il vous manque! Si vous faites l’acquisition d’un barbecue, le choix de celui-ci dépend de l’utilisation que vous allez en faire. Sa taille notamment dépendra du nombre de convives habituels.

Une des choses les plus importantes à laquelle vous devez veiller est sa stabilité. Le barbecue doit aussi être facile à déplacer et à entretenir. Il faut également être attentif au foyer, qui doit pouvoir supporter une chaleur intense, et ‘tenir le coup’ au fil des utilisations.

L’allumage
Prévoyez environ 1 kg de charbon de bois pour un barbecue moyen. Faites un petit tas de charbon de bois, allumez-le au moins une demi heure avant de commencer à cuire, et attendez que le feu ait bien pris avant d’en rajouter. Pour mettre le feu, jamais d’essence ou d’alcool à brûler (trop dangereux) mais du papier, des petits cubes ou du gel spécialement prévus à cet effet et que vous trouverez facilement en grande surface. Si le feu ne démarre pas très bien, vous pouvez l’activer au moyen d’un soufflet.

Attendez que les braises soient rougies à blanc avant de cuire. Étalez alors les braises, et posez la grille de cuisson assez haut. Ne la mettez qu’au dernier moment, pour éviter qu’elle ne s’encrasse.

Côté cuisson
Il est souvent conseillé de mariner la viande avant la cuisson au barbecue afin d’en préserver le moelleux et le fondant. Mariner les aliments leur apporte également un goût différent et déclinable à l’infini. La base est l’huile d’olive. Si vous cuisez des viandes un peu grasses, vous pouvez les poser dans des raviers en aluminium. Vous éviterez que la graisse en fondant ne ranime les flammes, faisant brûler la viande.

La cuisson du poisson au barbecue demande quant à elle quelques attentions. N’écaillez pas le poisson car les écailles protègent la chair pendant la cuisson. Cuisez le poisson sur des braises très douces. Vous pouvez également cuire les poissons après les avoir ’emmaillotés’ en papillote : des feuilles de salades, d’épinards ou tout simplement d’aluminium feront l’affaire.

Pour accompagner le barbecue, vous pouvez préparer des salades composées et des fruits de saison pour le dessert.

Pensez également à préparer un petit kit barbecue au congélateur. Vous pourrez en profiter lors d’un beau dimanche et vous offrir une petit grillade de dernière minute sans manquer de viande!

Utilisation sécuritaire d’un BBQ au propane

janvier 2016

Le propane est une source d’énergie pratique et sûre, à la condition de respecter certaines règles de sécurité élémentaires. Le propane est non toxique, incolore, et inodore. Par souci de sécurité, les fabricants sont tenus d’y ajouter un produit qui dégage une odeur semblable à celle d’oeufs pourris ou de chou bouilli pour permettre de vous alerter en cas de fuite.
Les quelques conseils qui suivent ont pour objectif de prévenir les accidents. Vous pourrez ainsi profiter pleinement des joies de la cuisson en plein air!

Pour profiter au maximum de votre barbecue
Placez votre appareil à un endroit stable et bien ventilé. Ne laissez pas courir de fils électriques à proximité et ne le placez pas trop près des murs ni dans l’environnement immédiat d’arbres ou d’arbustes. Référezvous aux instructions du fabricant pour connaître le dégagement à respecter entre votre appareil et toute matière combustible.Une fois allumé, ne laissez jamais votre barbecue sans surveillance. Afin d’éviter les brûlures, ne laissez personne s’amuser autour et ne le déplacez pas lorsqu’il est allumé.

Procédure d’allumage sécuritaire
1. Ouvrez le couvercle de votre barbecue;
2. Assurez-vous que les commandes de contrôle de gaz sont en position fermée (OFF);
3. Ouvrez lentement le robinet de gaz de la bouteille au maximum;
4. Produisez une étincelle à l’aide de l’allumeur intégré à l’appareil ou insérez une source d’allumage telle un briquet ou une allumette dans l’orifice d’allumage situé dans le bas de la cuve, si cet orifice est existant, à proximité du brûleur à être allumé. S’il n’y en a pas, utilisez de longues allumettes à proximité du brûleur à être allumé;
5. Ouvrez lentement une des commandes de contrôle de gaz en position ouverte (ON ou HI).
Note : ne pas dépasser la période critique d’allumage prescrite aux instructions contenues dans le manuel de l’utilisateur. Si vous ne réussissez pas à l’allumer la première fois, laissez ventiler complètement l’appareil selon les instructions à cet effet de ce même manuel avant d’essayer de rallumer.

Pour éteindre votre appareil en toute sécurité
Il est toujours recommandé d’éteindre votre barbecue en fermant d’abord le robinet de la bouteille de propane, de façon à laisser brûlercomplètement le propane contenu dans le boyau. Une fois la flamme éteinte, placez alors les commandes de contrôle de gaz à la position fermée (OFF). Ainsi, votre appareil sera prêt pour le prochain allumage.

L’entretien au fil des saisons
Même s’il est conçu pour affronter toutes les températures, votre barbecue nécessitera un minimum d’entretien chaque année pour vous permettre d’en tirer le maximum d’efficacité en toute sécurité. Prenez connaissance des instructions contenues dans le manuel du fabricant et respectez les conseils suivants :

Le brûleur :
Examinez l’état du brûleur et, si vous constatez qu’il est percé à plusieurs endroits, consultez votre centre spécialisé (ou détaillant) pour le faire vérifier et le remplacer. S’il est en bon état, nettoyez-le délicatement avec une brosse d’acier. La flamme produite par le propane doit être d’un bleu inaltéré. Par conséquent, une flamme constamment jaune ou lumineuse est probablement causée par un brûleur mal ajusté ou malpropre.

La cuve :
Nettoyez l’intérieur avec du nettoyant à four ou du dégraissant à barbecue. Si vous voulez redonner de l’éclat à l’extérieur de la cuve, utilisez une peinture conçue pour les hautes températures.

Les commandes de contrôle de gaz :
Veuillez vous assurer que les boutons de contrôle fonctionnent bien et que le robinet de la bouteille de propane est en bon état.

Le boyau et le raccord :
Pour vérifier si votre installation présente une fuite de propane, assurez-vous que le raccord est bien serré, placez toutes les commandes de contrôle de gaz de l’appareil à la position fermée (OFF), ouvrez le robinet de la bouteille, et appliquez une solution savonneuse sur tout le boyau et ses raccords. Si vous décelez la formation de petites bulles, c’est qu’il y a une fuite de gaz. Il faut corriger cette fuite avant l’utilisation en changeant les pièces défectueuses. Consultez votre centre spécialisé (ou détaillant) au besoin. Vous devriez faire un test de fuite immédiatement après le raccordement d’une bouteille de propane à l’appareil.

Les pierres volcaniques :
Les pierres volcaniques ne nécessitent aucun entretien, mais il est bon de les retourner quelques fois au cours de la saison. Notez qu’une seule couche de pierres suffit pour un rendement maximum de votre appareil. Ne surchargez donc pas la grille de fond et assurez-vous de voir la flamme du brûleur en quelques endroits.

Les grilles :
Il est recommandé de faire tremper les grilles dans de l’eau chaude savonneuse après chaque utilisation.

Les bouteilles :
Les bouteilles défectueuses ou âgées de plus de 10 ans doivent être retirées du service et remises au distributeur de propane, qui en disposera de façon sécuritaire. Ne jetez jamais une bouteille au rebut, car même si elle vous paraît vide, elle peut contenir encore assez de propane pour provoquer une explosion.Protection contre la poussière.Lors du transport ou du remisage de la bouteille de propane, n’oubliez pas d’installer le
bouchon cache-poussière sur la sortie du robinet de la bouteille. Ce dispositif empêche l’intrusion de toute matière qui pourrait nuire à l’étanchéité du robinet.

Le transport des bouteilles
En tout temps, et durant leur transport, les bouteilles de propane doivent être maintenues debout afin que le propane gazeux soit constamment en contact avec la soupape de décharge, ce qui minimise les risques en cas de fuite. Assurez-vous que la bouteille ne se renverse pas, soit en utilisant un support, soit en la fixant à l’aide de courroies. Le robinet de la bouteille doit être bien fermé. Vous ne pouvez transporter ni emmagasiner des bouteilles de propane dans votre véhicule privé, à moins que l’espace destiné à les recevoir ne soit bien ventilé. À cette fin, laissez au moins une fenêtre
ouverte ou le coffre entrouvert, selon l’endroit où la bouteille se trouve.

Installer un foyer à gaz

décembre 2015

Choix du combustible
Les foyers à gaz peuvent fonctionner avec deux combustibles: le gaz naturel ou le propane. L’alimentation en gaz naturel est possible à condition d’être à l’intérieur du territoire desservi par le réseau de distribution. L’approvisionnement en propane impose toutefois l’achat ou, plus souvent, la location d’un réservoir, dont l’installation à l’extérieur et le raccordement doivent être pris en charge par un spécialiste. Ici, les propriétaires ont choisi le propane.

À chacun sa tâche
L’installation de l’appareil a été confiée à des professionnels. Les propriétaires ont également mis la main à la pâte en se réservant les travaux d’habillage du foyer. Voyons en quoi consiste le travail de chacun.

L’emplacement du foyer
Il faut déterminer et marquer à l’avance l’emplacement du foyer, tout comme il importe de construire au préalable la base qui sert d’assise à l’appareil. Pour ce faire, il n’y a qu’à suivre les instructions techniques fournies avec le foyer. Cette base, constituée de pièces de bois de 2 po x 8 po, est recouverte d’un contreplaqué de 1/2 po d’épaisseur. Après avoir ancré la base, le technicien n’aura plus qu’à percer le trou où s’insérera la conduite, puis à déposer l’appareil sur sa base et à le fixer en place

La conduite d’alimentation
Avec une perceuse à percussion munie d’une mèche appropriée en main, le technicien chargé de l’installation doit d’abord percer le mur pour permettre l’entrée de la conduite d’alimentation en gaz. Cette dernière cheminera sous la solive de rive, puis à travers le plancher et les armoires de cuisine jusqu’à l’emplacement du foyer.

Branchée au foyer à l’une de ses extrémités, la conduite d’alimentation est, à l’autre bout, raccordée à un tuyau flexible en cuivre qui, lui, est enfoui dans le sol à l’extérieur jusqu’au réservoir situé sur le côté de la maison. Une fois les travaux terminés, il faut s’assurer de l’étanchéité des raccordements. Il faudra aussi prendre bien soin de calfeutrer, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur, l’ouverture par laquelle la conduite pénètre à l’intérieur de la maison.

La cheminée
L’emplacement
Une inspection des combles s’impose pour déterminer l’emplacement de la cheminée, qui doit passer entre les solives du plafond et les fermes de toit. Un trou percé dans le plafond ainsi qu’une vis introduite à travers le contreplaqué et les bardeaux serviront de repère pour marquer la position des ouvertures à préparer. Celles-ci sont découpées au moyen d’une scie alternative.

Les conduites
La cheminée comporte une conduite intérieure de plus petit diamètre, dont la fonction est d’évacuer les gaz de combustion. L’espace compris entre les deux conduites permet pour sa part l’entrée d’oxygène, indispensable à la combustion.

Un cordon de pâte à calfeutrer est appliqué au pourtour du solin de la cheminée. Celui-ci est glissé sous les bardeaux, où il sera vissé en place. Il ne reste maintenant qu’à y introduire la cheminée et à lui faire traverser les combles jusqu’au trou préparé précédemment dans le plafond. La cheminée sera finalement retenue au moyen d’attaches conçues à cet effet.

Pour rendre le tout le plus étanche possible, il importe d’abord de calfeutrer le pourtour du solin à la rencontre des bardeaux, puis d’ajouter le collet recouvrant le joint entre la cheminée et le solin. Un scellant au silicone est enfin appliqué autour du collet. Il ne reste plus qu’à installer la mitre qui coiffe la cheminée.

À l’intérieur, l’ouverture est garnie d’une gaine en acier. Un tuyau d’aluminium flexible raccordé à la buse du foyer vient rejoindre la section rigide installée préalablement. Une pâte à calfeutrer expressément conçue pour cet usage est appliquée au niveau des raccords.

Numérotées, les bûches artificielles occupent chacune une place bien précise à l’intérieur du foyer. Il importe donc de se conformer aux instructions fournies par le fabricant pour ne pas risquer de nuire à la combustion. S’ajoute ensuite une matière fibreuse qui, au contact du feu, devient rouge afin d’imiter les tisons. Un électricien a été mandaté pour procéder à l’installation d’une source électrique qui permettra de faire fonctionner le ventilateur (optionnel) du foyer.

Après s’être assurés que tout fonctionne pour le mieux, les spécialistes peuvent maintenant céder leur place aux bricoleurs, dont la tâche consiste à faire l’habillage du foyer afin de l’intégrer au reste de la maison. Une structure faite de pièces de 2 po x 4 po (des pièces de 2 po x 3 po feraient également l’affaire) a été réalisée. Au-dessus du foyer, celle-ci repose sur des supports triangulaires situés aux quatre coins de l’appareil. Soulignons que ce dernier entre dans la catégorie des foyers à dégagement zéro, de sorte que le revêtement de placoplatre pourra s’y appuyer sans danger.

Plutôt que de construire une structure pleine hauteur, qui aurait eu pour effet d’obstruer la vue et de restreindre la diffusion de la lumière, les propriétaires ont choisi de libérer l’espace au-dessus du foyer en créant une retombée de plafond au centre de laquelle s’encastre un luminaire.

Le gaz : pratique et rapide pour le barbecue

novembre 2015

Quelle énergie utiliser pour faire chauffer son barbecue ? Le choix est large entre le charbon de bois, le bois, le gaz, l’électricité et le solaire. Le mode de chauffage du barbecue influera sur le goût, le confort d’allumage et le temps de cuisson.

Bien que plus cher que le classique barbecue à bois, le barbecue à gaz fait de plus en plus d’émules. Facile et rapide à utiliser, il permet de maîtriser parfaitement la cuisson et la température.

De plus, les modèles de barbecue à gaz sont de plus en plus contemporains et sophistiqués, apportant une touche de modernité et de déco à cet accessoire qui n’a pas toujours eu bonne presse côté style.

Enfin, les fabricants proposent de nombreuses options telles qu’un plan de travail intégré, des rangements, un couvercle pour passer du mode grill au mode four…

Barbecue à gaz : comment ça marche ?
Le barbecue est alimenté au gaz. Il est donc soit relié au gaz de ville lorsque c’est possible, soit, cas le plus répandu, à une bombonne de gaz ou bouteille de propane.

Attention : Si vous optez pour un barbecue relié au gaz de ville, vous ne pourrez plus le déplacer.

La chaleur est diffusée via des brûleurs sur :

un grill en fonte,
une plaque,
des pierres de lave.
Conseil : Pour une cuisson plus efficace, optez pour un barbecue muni d’au moins deux brûleurs, en forme de 8 ou de serpentin. Mieux vaut éviter les barres horizontales ou les brûleurs en forme de H.

Les différents types de barbecue à gaz
Il existe des barbecues charbon à gaz de toute sorte et de toute taille :

fixes, en brique, pierre ou béton : le brûleur à gaz est intégré dans le foyer ;
mobiles, que l’on peut ranger dans son garage ;
et même portables, dans leur version la plus simple.
En savoir plus : Barbecue : le prix

Barbecue gaz : les avantages
L’avantage du gaz par rapport au charbon de bois est que la température monte plus vite. Vous pouvez donc cuire plus rapidement vos aliments.

L’avantage du gaz, par rapport à l’électricité, est que le barbecue peut être placé dans le jardin, loin des prises électriques. Il est autonome.

L’allumage est très simple, puisqu’il suffit d’allumer les brûleurs comme on le fait sur une gazinière.

La température de vos brûleurs peut être maîtrisée, en réglant l’intensité du feu.

Les barbecues à gaz offrent une large gamme d’options et d’esthétiques, pouvant ainsi satisfaire tous les goûts et tous les besoins.

Barbecue au gaz : les inconvénients
Avec un barbecue à gaz, vous n’obtiendrez pas la saveur caractéristique des grillades au bois.

Dans l’ensemble, les barbecues au gaz sont assez volumineux, et sont plus chers que les barbecues électriques.

Le barbecue à gaz réclame une certaine vigilance, car il faut s’assurer que les brûleurs ne s’éteignent pas, sans quoi le gaz s’échapperait, ce qui pourrait représenter un risque d’explosion, voire d’intoxication si l’endroit est relativement confiné.

Bien que ce type de barbecue ne nécessite pas beaucoup d’entretien, il doit être inspecté régulièrement, en particulier les brûleurs.

En cas de réparation, seul un professionnel peut intervenir, et les pièces de rechange sont parfois difficiles à trouver.

Avant d’investir dans un barbecue à gaz, assurez-vous donc que la garantie est efficace, et qu’elle couvre les brûleurs.

3 astuces pour bien nettoyer votre foyer

octobre 2015

Tout le monde apprécie s’asseoir au coin du feu, mais pour profiter de ce petit plaisir sans risquer un incendie, il faut bien nettoyer le foyer!

L’entretien d’une cheminée est indispensable! Si vous négligez cette opération essentielle, vous risquez une intoxication au monoxyde de carbone et même un incendie. Un ramonage par an est d’ailleurs obligatoire! Voici 3 astuces pour bien nettoyer votre foyer!

1. Retirez la cendre

Lorsque l’hiver se pointe le bout du nez et que vous souhaitez faire un feu pour réchauffer la maisonnée, votre foyer doit être bien entretenu. Retirez régulièrement une partie de la cendre. Laissez-en une couche de 2 à 3 cm, la cheminée tirera mieux. Certaines comportent un tiroir à cendre, placé sous le foyer et facile à entretenir puisqu’il faut juste l’ouvrir pour le nettoyer. Sinon, utilisez une pelle de cheminée et versez la cendre dans un seau en métal pourvu d’un couvercle hermétique. Laissez-le dehors pendant deux jours avant de le jeter : c’est une sage précaution, car il peut y rester des morceaux de braise vive susceptibles de provoquer un incendie.

2. Débarrasser le foyer de la suie

Assurez-vous d’enlever la suie du foyer déposée par la combustion du bois, surtout si, quand vous n’y faites pas de feu, vous aimez le décorer d’un bouquet de fleurs, par exemple. Retirez le pare-feu, les chenets et la grille. Balayez toute la cendre. Commencez par racler la suie à l’aide d’une brosse métallique. Si vous voulez un foyer plus propre encore, délayez 50 g de cristaux de soude –en vente en pharmacie- dans environ 4 litres d’eau, et appliquez ce mélange à l’éponge. Frottez avec une grosse brosse à poils durs et rincez à l’eau claire. Enfilez des gants de caoutchouc, car les cristaux de soude sont caustiques.

3. Faites nettoyer votre conduit

Il n’y a pas de feu sans fumée … Lorsque l’on fait du feu dans la cheminée, on finit par avoir un conduit encrassé. La suie peut provoquer des feux de cheminée, notamment si le goudron, résidu fortement combustible dégagé par le bois qui brûle, s’enflamme. Les flammes dépassent alors bien souvent la simple hauteur du foyer de la cheminée- elles brûlent assez fort pour consumer le mortier du conduit-, et votre maison risque de prendre feu. Pour éviter un tel désastre, faites régulièrement nettoyer votre conduit par un ramoneur professionnel. C’est un travail difficile et dangereux, qui requiert une kyrielle de brosses et un équipement précisément adapté aux dimensions de conduit. La fréquence de nettoyage dépend du nombre de feux que vous faites dans la cheminée. Une inspection par an s’impose toutefois.

N’oubliez pas que les compagnies d’assurance exigent le plus souvent possible un certificat de ramonage établi par une entreprise spécialisée pour rembourser les frais occasionnés par un sinistre éventuel.

Ajouter un chauffage d’appoint, une bonne idée ?

septembre 2015

Vous possédez une chaudière avec un circuit de chauffage central et vous vous interrogez sur la rentabilité d’installer un chauffage d’appoint en complément de votre chauffage actuel ?

Cette question est très pertinente, car d’aujourd’hui il est primordial de remettre en question son mode de chauffage.

L’installation d’un chauffage d’appoint comporte plusieurs avantages que nous allons voir ci-dessous…

Quel est l’intérêt du chauffage d’appoint ?

L’installation d’un chauffage d’appoint dans votre habitation vous permet de diversifier vos solutions de chauffage. En général, un chauffage d’appoint utilise un combustible différent de celui de votre chauffage central. Cette différence vous permet de posséder un mix énergétique interne à votre habitation qui peut vous mettre à l’abri des hausses successives des combustibles fossiles. Le deuxième grand intérêt est lors d’hivers très rigoureux d’avoir une source de chauffage supplémentaire. Votre chauffage central est dimensionné suivant les températures extérieures de base. Cependant lors de rudes hivers, il est possible que votre habitation soit sous-chauffée. Investir dans un chauffage d’appoint vous permettra de fournir la puissance nécessaire pour surmonter ces températures extrêmes avec sérénité.

Je passe la majorité du temps dans mon salon, une solution pour moi ?

Comme beaucoup de gens, le centre de votre maison est probablement votre séjour. Un lieu convivial et de détente où vous passez la plus grande partie de votre temps libre. Cependant vous êtes contraint de chauffer la surface totale de votre habitation dont certaines parties que vous utilisez peu. Quelle Energie a une solution pour vous : adopter un poêle à bois dans votre logement. Cette solution utilisant un combustible peu onéreux vous permettra de baisser considérablement vos dépenses en gaz ou fioul…

Un poêle à bois en remplacement de ma chaudière ?

Cette solution est un peu radicale… Nous recommandons l’installation d’un poêle à bois comme un chauffage complémentaire c’est-à-dire que le poêle aura pour fonction de chauffer en priorité la pièce où vous passez le plus clair de votre temps et si possible le reste de votre maison.

L’installation d’un poêle qu’il soit à bûches ou à granulés va vous permettre de profiter d’un chauffage économe en combustible. Cette solution transmet la majorité de sa chaleur par rayonnement. Ce mode de transfert de la chaleur est celui qui apporte le plus de confort aux occupants du logement. Ainsi avec quelques bûches ou quelques poignées de granulés chaque soir vous ressentirez une chaleur douce et intense. La beauté de la flamme des poêles à bûches représente un argument supplémentaire au niveau esthétique.

Et si vous joigniez l’utile à l’agréable ?

Les constructeurs de poêles font preuve d’innovation et cherchent toujours à optimiser leurs produits au maximum. Il existe de plus en plus de poêles intégrant un four sur leurs parties supérieures. Vous pourrez ainsi à votre guise faire cuire volaille, pizza, tarte, etc… La douceur des flammes associée à l’envoûtante odeur d’un plat cuisant doucement dans votre poêle devrait finir par vous convaincre.

Chauffage : comment s’y prendre pour faire baisser la facture

août 2015

Avec un hiver bien marqué, on ne peut pas se passer de chauffage mais des solutions existent pour faire baisser son coût.

Tous les professionnels du secteur vous le diront : avant de choisir ou de revoir son mode de chauffage, il faut traquer les déperditions de chaleur de votre logement. « La première dépense utile est de travailler sur l’isolation, suggèrent, le plus souvent, les professionnels. En changeant ses ouvrants ou en ajoutant un peu de laine de verre, on peut éviter de surconsommer. »

Pour diminuer sa facture de chauffage, une bonne gestion des températures est importante. « Diminuer d’un demi-degré sur une longue durée engendre entre 8 et 10 % d’économies sur l’année et en terme de confort, on sent à peine la différence. Sur des logements peu isolés, le thermostat d’ambiance permet de réguler la température en fonction des apports et des déperditions de la maison. Même quand il fait froid, le soleil peut apporter de la chaleur au travers des fenêtres et des baies vitrées. L’avantage, c’est que l’on peut installer cet appareil à tout moment sur 90 % des chaudières. La plupart du temps, les récentes chaudières en sont équipées. Un thermostat d’ambiance coûte une centaine d’euros environ. » Parmi les solutions de chauffage, le bois est l’une des énergies les moins onéreuses sur le marché, non seulement en terme d’investissement dans l’appareil mais aussi pour l’achat du combustible. Et l’installation d’une cheminée ou d’un poêle ne nécessite pas de tout casser chez soi.

Le poêle à bois : une solution économe

L’avantage du poêle à granulés, c’est de pouvoir programmer la température voulue. Ainsi, il fonctionne en toute autonomie avec sa réserve et reste propre. Le bois ne subit pas de hausses comme les autres énergies.
Pour réaliser des économies tout en respectant la planète, les énergies renouvelables sont une solution mais avec un certain coût d’investissement au départ. Quant aux chauffages d’appoint que l’on aurait tendance à privilégier pour réchauffer une pièce plus qu’une autre, il faut s’en méfier. Les risques d’une intoxication au monoxyde de carbone, à cause d’une mauvaise ventilation de ces chauffages, ne sont pas nuls. Une chose est sûre : tout appareil de chauffage doit faire l’objet d’un entretien annuel pour des questions de sécurité mais aussi pour obtenir un rendement optimum.

Pourquoi choisir une cheminée

juillet 2015

Même si le coût et les désagréments liés aux travaux peuvent s’avérer contraignants, l’installation d’une cheminée présente tout de même de nombreux avantages. Non seulement cela vous permettra de réduire le montant de votre facture d’électricité, mais en plus vous bénéficierez d’un confort quotidien absolu. Sans oublier, bien évidemment, qu’il s’agit d’une démarche positive pour l’environnement.

Comment choisir ma cheminée ?

A l’approche de l’hiver, vous commencez à penser à la manière dont vous allez vous chauffer. La hausse des prix du pétrole, de l’électricité et du gaz ne vous enchante guère et vous vous attendez déjà à recevoir des factures bien musclées. En somme, rien qui ne laisse présager un hiver chaleureux dans votre logement. Alors que faire ? Préférer payer une facture salée ou baisser le chauffage et accumuler les couches de vêtements pour ne pas vous geler ? Choix cornélien, nous direz-vous. Alors pourquoi ne pas investir dans une cheminée ? Qu’elle soit ancienne ou design, elle vous permettra de passer un hiver tout en confort. Quant aux factures, il s’agit d’un investissement rentable qui vous fera réaliser des économies sur vos prochaines factures d’électricité. Et puis, une cheminée donnera du cachet à votre habitation. Sans parler des clichés : vous passerez des moments uniques en famille, entre amis ou même seul, lors de soirées orageuses et glaciales, devant le feu crépitant de la cheminée… Pas mal, non ?

Vous vous êtes décidés. Vous souhaitez équiper votre logement d’une cheminée. Avant de vous lancer dans l’aventure, n’oubliez pas que vous allez investir dans un produit à long terme. Il est donc conseillé de faire appel à un professionnel qui vous aidera à déterminer si votre projet est réalisable. Pour cela, vous devez commencer par connaître les raisons d’une telle acquisition.

Une cheminée pour quel usage ?

Ce paramètre est sans doute le plus important. Chauffage d’appoint ou chauffage de base ? En d’autres termes, est-ce que vous désirez installer une cheminée pour chauffer votre logement ou voulez-vous en posséder une pour en profiter de temps en temps. Il est même possible, c’est d’ailleurs de plus en plus fréquent, que vous souhaitiez investir dans un élément uniquement décoratif. Quoiqu’il en soit, les critères de sélection ne seront pas les mêmes. Dans le premier cas, il faudra s’intéresser aux propriétés techniques du produit (puissance et rendement notamment) alors que dans le second cas, l’esthétisme primera sur le reste. En évolution constante, le marché de la cheminée propose aujourd’hui tout un assortiment de modèles différents tant au niveau du design que de l’alimentation ou même de la position.

C’est un des paramètres que vous devrez étudier à l’aide d’un professionnel. La superficie du logement, par exemple, devra être prise en compte pour déterminer si elle vous permet d’intégrer tel ou tel type de cheminée. Par ailleurs, le montant des travaux sera en partie évalué en fonction de l’emplacement de l’appareil; il est donc important d’étudier cette question avec une personne qualifiée qui vous informera sur le chantier à entreprendre.

Les avantages d’une cheminée intérieure ?

Premier avantage : une facture allégée. Acquérir une cheminée vous permettra de gagner de l’argent… Ou en tous cas de ne plus en perdre. Vous allez donc rapidement récupérer votre investissement de départ. Qu’elle soit au bois, au gaz, ou à l’éthanol, votre cheminée consommera de toute façon beaucoup moins qu’un chauffage électrique.

Deuxième avantage : un bienfait pour l’environnement. Que vous soyez un écolo confirmé ou pas, vous ne pouvez pas négliger les nouveaux enjeux environnementaux. Les particuliers doivent participer à la réduction des émissions de CO2. Or, une cheminée génèrera moins de pollution qu’un chauffage électrique.

Troisième avantage : le confort. S’équiper d’une cheminée ne peut qu’améliorer votre bien-être. Installés dans votre salon, vous pourrez profiter d’instants agréables non négligeables. Chaleur et confort envahiront votre quotidien.

L’entretien du foyer

juin 2015

Qu’il s’agisse d’un poêle, d’un feu ouvert ou d’une cheminée à foyer fermé, toute installation de chauffage d’appoint recquiert un certain nombre de tâches d’entretien. Certaines sont simples et fréquentes, comme le nettoyage et le décendrage. D’autres nécessitent des travaux plus complexes comme le ramonage ou le remplacement d’éléments détériorés par l’usure ou le « stress » thermique.

Ces différentes tâches d’entretien et leur fréquence plus ou moins régulière sont essentielles car ellesont une influence directe à la fois sur l’efficacité de l’appareillage mais aussi sur sa sécurité.

Efficacité et sécurité
La grande majorité des appareils de chauffage récents sont capables d’offrir un rendement élevé. Leur efficacité est telle qu’elle permet aujourd’hui d’atteindre des niveaux de rendement proches, voire supérieurs à 90 %, ce qui se traduit par une combustion nettement plus efficace que par le passé. Mais ces rendements, annoncés par les fabricants, ne sont que théoriques.Dans la réalité, le rendement dépend de plusieurs facteurs tels que la propreté de l’installation, la conception et la qualité du conduit de fumée, la technique d’allumage et d’approvisionnement du feu ou encore la qualité du combustible employé (en particulier pour le bois). Il est évident qu’un foyer encrassé, un conduit mal ramoné, une mauvaise utilisation de l’appareil ou la combustion d’un
bois trop humide auront une influence négative non négligeable sur le tirage et, d’une manière générale, le fonctionnement de l’appareil. Son efficacité s’en trouvera dès lors amoindrie. D’où l’intérêt de prêter une attention toute particulière à l’entretien régulier du système de chauffe.
L’entretien de tout système de chauffage, fusse-t-il d’appoint, s’avère d’autant plus nécessaire qu’il conditionne toute la sécurité de l’installation, voire de l’habitation toute entière. Le danger qui guette est de deux ordres: incendie et intoxication. En effet, tout défaut d’aération ou de
fonctionnement grave risque d’entraîner non seulement un danger d’incendie, par le biais d’un feu de cheminée, mais peut aussi mener à une intoxication mortelle au monoxyde de carbone (CO) en cas de refoulement des gaz de combustion dans l’habitation. On comprendra donc aisément que l’entretien d’un appareil de chauffage et du conduit d’évacuation des fumées est une obligation qu’il convient de ne pas prendre à la légère.

Les différentes tâches d’entretien
Selon qu’il s’agit d’un appareil de chauffage au gaz, au bois, au mazout ou au charbon, l’importance de l’entretien et sa fréquence peuvent varier fortement et l’on ne peut décréter une règle unique qui s’appliquerait à tous les appareils et à toutes les pratiques de chauffage. Cependant, on peut dire de façon minimaliste, que tous les appareils ainsi que la cheminée
devraient être nettoyés à fond et inspectés minutieusement au strict minimum une fois par année. Le nettoyage et l’inspection annuels doivent inclure toutes les parties du système: l’intérieur de la cheminée, de façon à détecter la présence éventuelle de dépôts excessifs, des anomalies ou
détériorations au niveau du conduit; l’extérieur de la cheminée pour voir s’il y a des marques d’usure ou si le mortier s’effrite; le conduit d’évacuation pour vérifier s’il y a de la corrosion ou si les joints sont relâchés; et le poêle ou le foyer pour s’assurer que les joints d’étanchéité ne sont pas usés, que le dispositif de verrouillage est bien en place et que les composantes internes (briques réfractaires, déflecteurs, passages d’air, catalyseurs de
postcombustion…) ne sont pas détériorées.